Philippe Seguin, au temps du traité de Maastricht

C'était l'époque de la fondation de l'Union Européenne :
« La France n’est pas la France quand elle n’est plus capable, comme aujourd’hui, de par­tager équitablement les profits entre le travail, le capital et la rente, quand elle conserve une fiscalité à la fois injuste et inefficace, quand elle se résigne à voir régresser la solidarité et la promotion sociale, quand elle laisse se déliter ce qu’autrefois on appelait fièrement le creuset français et qui était au cœur du projet républicain ».

Philippe Seguin, 5 mai 1992

Tout change pour que rien ne change...

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