Vite lu, Vite vu du dimanche 18 avril 2021

Sommaire

  • Variation des températures depuis 1850
  • Les points de bascule du système climatique (5') 
  • Seuls 4 % des Français prennent l’avion régulièrement
  • L’impact environnemental « potentiellement catastrophique » du véhicule autonome
  • Énergie plus chère = plus de chômage
  • Nous sentons mauvais et c'est un homme de droite qui l'affirme
  • Bruit de botte en Europe
  • Cancer et espérance de vie
  • Progrès vous avez dit progrès ? (évolution du nombre de lits d’hôpital depuis 1960)
  • Un Quiz pour sensibiliser à la désinformation sur les réseaux sociaux
  • A quoi faire attention pour éviter l'hameçonnage
  • Je ne suis plus à vendre sur Linkedin
  • Les fils noirs présents sur certains masques ne sont pas des parasites, mais des fibres inoffensives
  • « Nous ne vivrons pas sur Mars, ni ailleurs » 

Variation des températures depuis 1850

Ed Hawkins, climatologue : « Les températures ont augmenté sur pratiquement toute la planète depuis le milieu du XIXe siècle, mais le taux de réchauffement n'a pas été le même partout. Quand on regarde les changements par rapport à la moyenne mondiale, il est clair que l'Arctique et les terres se réchauffent plus vite que l'océan. » (source)
Variation de température depuis 1850

Variation de température comparativement à la température moyenne mondiale
 

Les points de bascule du système climatique (5')

 

Seuls 4 % des Français prennent l’avion régulièrement

« en 2014, un Français sur quatre a pris l’avion, et seuls 4 % l’ont pris régulièrement vers un autre pays européen (...)  12 % des personnes aux États-Unis remplissent les deux tiers des aéronefs ; 5 % des ménages chinois prennent 40 % de tous les vols. Autrement dit, tandis que la majorité reste à terre, une minorité de « grands voyageurs » plane... et pollue. (...) 1 % de la population mondiale serait responsable de la moitié des émissions de CO2 liées à l’aviation en 2018. À l’autre bout de la traînée de condensation, plus de 80 % de la population mondiale n’a jamais pris l’avion… mais subit les conséquences du changement climatique. » (Reporterre)

 

L’impact environnemental « potentiellement catastrophique » du véhicule autonome

« Sauf qu’en rendant les déplacements plus attrayants, relève le rapport, le véhicule autonome fait courir le risque de plusieurs « effets rebonds », lorsque l’amélioration de l’efficacité énergétique d’un procédé entraîne une augmentation de la consommation d’énergie plutôt que sa réduction. Premier effet rebond : l’augmentation des distances parcourues. Renault présente son prototype comme un « salon roulant ». Le véhicule autonome promet en effet d’être un espace de vie où l’on peut à la fois travailler grâce à la technologie embarquée, échanger avec des amis ou se reposer. Deuxième effet, lié au premier, l’étalement urbain : un transport plus agréable, reposant ou productif pourrait inciter les ménages à s’installer plus loin de leur lieu de travail. Troisième effet, lors d’une course ou d’autres activités, il risque d’inciter les usagers à laisser rouler leur véhicule à vide pour éviter de payer une place de stationnement ou faute de parking libre. Parmi les autres effets, il pourrait augmenter les livraisons (et les achats en ligne) en abaissant les coûts ou encore concurrencer les transports en commun et fragiliser leur modèle économique. »  (Source : L’impact environnemental « potentiellement catastrophique » du véhicule autonome)

 

Énergie plus chère = plus de chômage (source)

Energies, Economie, Pétrole et Peak Oil: Revue Mondiale Mars 2021
Aux Etats-Unis, une énergie plus chère est corrélée avec une hausse du chômage suivant un décalage de 1 à 2 ans.


Nous sentons mauvais et c'est un homme de droite qui l'affirme

« Rien n’est plus fascinant que l’indifférence générale qui accompagne l’assassinat de la liberté. Certes, la routine est toujours la complice du despotisme. Les Français subissent depuis un an des contraintes monstrueuses qu’aucune guerre ni aucune occupation n’avaient justifiées (...) Ces mesures indéfiniment prolongées touchent au paroxysme de l’absurdité bureaucratique. (...) Gouverner, c’est accabler et asservir. Cette stratégie de communication est au prix de l’abolition de la liberté, c’est-à-dire d’un brutal changement de civilisation. Jamais, contrairement à un mensonge répandu, les autres Nations occidentales ne se sont engagées dans la voie d’une extinction aussi totale et aussi durable de la liberté. Croire que celle-ci reviendra d’elle-même à la fin de la crise sanitaire est illusoire. Un abominable précédent a été ouvert. Demain, la moindre crise sanitaire (ou d’un autre genre) justifiera de futurs barreaux et contraintes. La peur est le carburant de cette manœuvre. Il faut l’agiter en permanence pour asservir le grand troupeau docile. (..) Mais le pire de tout, c’est l’indifférence générale ou formidable aveuglement par lesquels l’anéantissement de la liberté se produit sans obstacle. Comment en arrive-t-on à un peuple aussi résigné, aussi servile? » (Maxime Tandonnet)
« Attention: on s’habitue à tout. L’habitude, la routine est le meilleur allié de l’asservissement. Ce qui se passe en France, dans une indifférence comparable à celle des bovins qui regardent passer un train, est inouï. Depuis un an, les brimades absurdes envers la population se multiplient dans la plus grande banalisation (..) L’anéantissement systématique de la liberté est cependant plutôt bien accepté par la foule, sous l’emprise de la peur… Tout cela consiste à frapper la population dans une logique de pénitence collective (..) Mais il y a pire, cent fois pire: une souffrance et une humiliation, une frustration collective qui se transforment en esprit de délation. » (Maxime Tandonnet)

Bruit de botte en Europe Pierre Haski 3'

 
 

Cancer et espérance de vie

« On estime que même une guérison complète du cancer n'ajouterait que trois ans à l'espérance de vie, car tant d'autres maladies mortelles attendent les patients plus âgés dans les coulisses. » (source)

 

Progrès vous avez dit progrès ? (évolution du nombre de lits d’hôpital depuis 1960)

« Les restrictions dues au Covid-19 dans le monde visent principalement à ne pas dépasser la capacité des hôpitaux. Mais la capacité hospitalière n'est plus ce qu'elle était. Dans les années 1960 et 1970, les États-Unis et de nombreux pays européens comptaient environ dix lits d'hôpital pour mille habitants. Aujourd'hui, les États-Unis en ont moins de trois, tandis que de nombreux pays européens en ont moins de cinq. (...) Les États-Unis comptaient 9,18 lits d'hôpitaux pour 1 000 habitants en 1960, contre 2,87 lits en 2017. (...) L'Europe comptait 9,52 lits d'hôpitaux pour 1 000 habitants en 1980, contre 5,38 lits en 2018. Toutefois, il existe des différences notables entre les pays européens.

En Europe centrale, la diminution est relativement limitée et le nombre de lits d'hôpitaux se maintient à 6-8 pour 1 000 habitants :

  • Allemagne: 10.5 (1960) → 10.12 (1991) → 8.24 (2007) → 8.3 (2013) → 8.0 (2017)
  • Autriche: 9.94 (1985) → 7.75 (2007) → 7.27 (2018)
  • Hongrie: 9.30 (1994) → 8.16 (2000) → 7.19 (2007) → 7.01 (2018)
  • Tchéquie: 10.11 (1980) → 6.62 (2018)
  • Pologne: 6.68 (2003) → 6.54 (2018)

Dans certains pays d'Europe occidentale, la diminution est plus prononcée, le nombre de lits d'hôpitaux étant désormais de 5 à 6 pour 1 000 habitants :

  • France: 10.5 (1974) → 8.34 (1998) → 7.06 (2007) → 5.91 (2018)
  • Belgique: 8.30 (1970) → 7.64 (1989) → 6.27 (2007) → 6.20 (2013) → 5.62 (2018) → 5.58 (2019) (...)
  • Norvège: 3.60 (2017)
  • Finlande: 8.25 (1993) → 3.61 (2018)
  • Pays-Bas: 7.5 (1965) → 5.8 (1990) → 4.34 (2007) → 4.7 (2009) → 3.17 (2018)
  • Italie: 8.97 (1960) → 3.91 (2007) → 3.40 (2012) → 3.14 (2018)
  • Irelande: 9.03 (1980) → 2.97 (2018)
  • Royaume-Uni: 4.08 (2000) → 2.76 (2013) → 2.54 (2017)
  • Danemark: 8.10 (1970) → 4.54 (1997) → 3.69 (2007) → 2.43 (2018)
  • Suède: 14.18 (1960) → 2.86 (2007) → 2.14 (2018) (...)
  • Espagne: 4.66 (1970) → 3.25 (2007) → 2.97 (2018)
  • Grèce: 5.79 (1960) → 4.2 (2018)
  • Portugal: 3.96 (1985) → 3.45 (2018) (...)

Si l'on considère la Chine, on observe la tendance inverse. Le nombre de lits d'hôpitaux pour 1 000 habitants est passé de 1,44 en 1965 à 4,31 en 2017. La Chine a désormais plus de capacité hospitalière par habitant que les États-Unis et une grande partie des pays européens. Les pays qui comptent le plus de lits d'hôpitaux se trouvent également en Asie. En 2017, le Japon et la Corée du Sud comptaient respectivement 13,05 et 12,27 lits d'hôpitaux pour 1 000 habitants.inhabitants, respectively. » (Number of Hospital Beds per 1,000 Inhabitants (1960-2018) )


Un Quiz pour sensibiliser à la désinformation sur les réseaux sociaux

« Les «infox» sont bien plus que des informations erronées. Le terme «infox» est lui-même trompeur, parce que bien souvent, on retrouve des informations «réelles» – comme un article, une séquence vidéo ou une image – qui ont été modifiées ou sorties de leur contexte. Le terme «désinformation» est souvent utilisé pour désigner du contenu faux ou trompeur qui se retrouve diffusé par des individus ignorant leur teneur. La désinformation peut aller d'un mème à une vidéo retouchée; elle peut être diffusée et devenir virale, surtout lorsqu'elle vise des communautés plus enclines à la croire. Parfois, elle est utilisée sur un site satirique pour le faire passer pour un site authentique, d'autres fois elle sort directement de la bouche d'un politicien sur les médias sociaux. Dans Vrai ou faux Désinformation Édition, vous allez découvrir cet univers obscur et tenter d'identifier différents exemples de désinformation. » Bienvenue dans Vrai ou Faux - Édition désinformation [quizz]


Je ne suis plus à vendre sur Linkedin

« Hier, j’ai enfin supprimé mon compte Linkedin. Ce compte me narguait depuis 2006 par son inutilité et son impact sur ma boîte mail. Ce compte que je voulais supprimer depuis des années, mais que je gardais, acceptant son coût de maintenance, dans la crainte qu’il me soit un jour utile.

Linkedin a toujours été pour moi un réseau de mendiants. Mendiants pour un job (pardon « Looking for new opportunities » ou « Ready for the next challenge »), mendiants pour des clients sous toutes les formes, mendiants pour de la visibilité « professionnelle ». Les marketeux trouvent leur compte, car ils peuvent envoyer des messages à X contacts, récolter des adresses email et dire que leur journée est faite. Les recruteurs se contentent de faire des recherches par mot clé et d’utiliser des moulinettes automatisées. Le fait que j’aie fait 6 mois de J2EE en 2006 semble toujours faire de moi « le profil idéal pour un client important ». Pour le reste, tout le monde espère que passer sa journée sur Linkedin va miraculeusement se transformer en espèce sonnante et trébuchante. (...)

Mais je ne pouvais plus supporter cet enjouement corporate forcé, ces messages de félicitations semi-automatiques pour fêter mes trois ans dans un job que j’ai quitté il y a 2 ans et demi en oubliant de mettre mon profil à jour (envoyés par d’illustres inconnus ou des gens avec qui j’ai partagé un bureau pendant 3 semaines il y a 10 ans), cette timeline remplie d’adjectifs dithyrambiques pour se congratuler l’un l’autre de ce qui n’est qu’une énième tentative de transformer un spreasheet d’emails en clients débités tous les mois ou de vendre un concept intellectuellement rachitique en journée de formation pour booster la performance de votre équipe. (...)

Si nous perdons contact suite à mon départ de Linkedin, c’est peut-être que nous n’étions tout simplement pas en contacts en premier lieu. Nous en avions seulement l’illusion, comme souvent dans l’univers des réseaux sociaux. L’illusion d’être aimé (Facebook), l’illusion d’avoir des amis (Facebook), l’illusion d’être écouté (Twitter), l’illusion d’avoir une vie cool (Instagram), l’illusion d’être professionnellement important et bien connecté (Linkedin). D’ailleurs, sans ce billet, il est probable que personne n’aurait remarqué mon absence. Sur les réseaux sociaux, les absents sont rapidement emporté par le flux, la brève et illusoire gloriole qu’ils avaient construite se diluant instantanément dans l’immédiateté de l’oubli. Le lit de la rivière ne conserve pas la trace du caillou que vous venez de retirer. » (Ploum)

Les fils noirs présents sur certains masques ne sont pas des parasites, mais des fibres inoffensives

« De nombreuses vidéos montrant de petits fils noirs sur les masques de protection circulent depuis le début du mois d'avril sur les réseaux sociaux dans plusieurs langues. Selon des internautes, il s'agirait de "vers" dangereux pour la santé ou de "nanoparticules". Ce ne sont ni des organismes vivants, ni des objets technologiques, mais des fibres textiles inoffensives, expliquent des scientifiques interrogés par l'AFP. (...)

"Les masques avec une bonne efficacité de filtrage bactérienne ont une charge électrostatique particulièrement élevée" qui leur permet d'attirer et de capturer les petites particules sur le tissu, a expliqué Christian Scarlach, un porte-parole du fabricant allemand D / Masks, dans un mail à l'AFP.

Il a ajouté que les impuretés telles que des fibres peuvent adhérer aux masques lors de l'emballage, notamment parce que "les masques sont chargés en électricité statique"

Il en va de même pour l'environnement dans lequel le masque est stocké. "La charge électrostatique attire et filtre les fibres. Par exemple, si vous portez un masque dans votre poche, les fibres se fixeront automatiquement au masque", a-t-il détaillé (...)

Les fils bougent à cause de l'air ou l'eau

Beaucoup d'internautes sont convaincus que les fibres sont des organismes vivants parce qu'elles "bougent". Mais il y a aussi une raison. Ces fibres sont si légères qu'elles sont transportées par des courants d'air que nous ne ressentons peut-être pas.

Comme nous l'avons déjà vu plus haut, l'électricité statique peut être une autre explication à ce mouvement

Dans certaines de ces vidéos, les auteurs mettent les masques sous l'eau, en affirmant que cela fait réagir les "parasites".

"Lorsque vous essayez d'attraper un objet dans la piscine, il s'éloigne d'abord légèrement parce que vous avez créé une vague avec votre main. De même, lorsque vous approchez du fil avec la pointe d'une pince à épiler, cela crée une petite vague et le fil bouge. Cependant, cela ne prouve en aucun cas que la particule est vivante ou qu'elle peut se déplacer d'elle-même", a expliqué Jana Nebesarova.

Dans toutes les vidéos que nous avons vues, les gens touchent le masque à mains nues ou avec un objet, le font bouillir, le mettent sur la table de la cuisinedans l'évier... Il existe de nombreuses possibilités de créer un mouvement et donc une illusion de "vie".

Reproduisons l'expérience

"C'est un phénomène ordinaire", a expliqué à l'AFP Marina Jovanović, docteur en sciences biologiques et chercheuse  à l'Institut de chimie générale et physique de Belgrade

Elle a également reproduit l'expérience à la demande de l'AFP. Ses conclusions sont visibles dans la vidéo ci-dessous, sous-titrée en anglais :

"Les fibres ont un motif distinctif, on sait à quoi ça ressemble. Ce ne sont pas des microbes", a-t-elle expliqué. Jovanovic a également souligné que "les conditions de test et d'utilisation" du masque sont importantes. 

"Lorsque nous mettons un masque, nous le touchons avec nos mains, nous avons des germes sur nos mains, nous touchons différentes surfaces qui peuvent contenir des micro-organismes. En plus des microbes, il est possible de transférer des résidus dans le masque, tels que des poils, des fibres végétales et autres impuretés. Ce que nous avons vu au microscope sur un masque utilisé, ce n'est pas des parasites ou quelque chose de vivant. C'est juste un reste de matière", a-t-elle assuré. » (AFP Factuel)

Commentaires d'internautes sous la vidéo "Masque et parasite ???"  :

  1. « Il n'y a pas de fibres noires dans les masques neufs et non contaminés, du moins pas dans ceux que j'ai vu
  2. Ce sont juste des fibres de tissu qui s'imprègnent de vapeur d'eau chaude, ce qui les fait gonfler et donc bouger
  3. Preuve hors de tout doute que ce ne sont pas des parasites: refaites la même expérience avec d'autre tissu et vous allez voir le même genre de phénomène...
  4. J'ai réussi à filmer le même phénomène sur.... une vieille mitaine de four sale ;) »

« Rien d'autre a faire que ça?.... faite le test pour voir avec des serviettes hygiéniques, tampons, mouchoirs en papier etc..., a force de chercher on trouve ce qu'on a envie de voir. Et puis il me semble que personne est encore mort d'avoir porté des masques aux normes, par contre mort de ne pas en avoir porté... :( »

 

« Nous ne vivrons pas sur Mars, ni ailleurs », Sylvia Ekström astrophysicienne et sage-femme

« Mars soulève d’invraisemblables projets de colonisation qui donnent, à grand renfort de jolis films d’animation et de nombreuses superproductions de science-fiction, l’impression d’être réalisables à court terme. Le grand public en est venu à considérer que vivre normalement ailleurs que sur Terre est très facile, alors que ce n’est pas le cas.

La réalité est beaucoup plus rude. Une analyse critique et sérieuse des immenses écueils qui se dressent entre nous et notre plus proche voisine montre que, sortis de la double protection terrestre (atmosphère et magnétosphère), nous sommes terriblement vulnérables dans un cosmos hostile et glacial. Faire aterrir une fusée contenant des êtres humains confinés dans quelques mètres cubes pendant six mois et épuisés par un si long voyage hors gravitation terrestre, relève de l’inconscience la plus totale.

Sur Mars, les conditions extrêmes et le manque de ressources vitales rendraient la survie d’improbables martionautes bien plus difficile qu’en Antarctique : la plus minime erreur humaine, la moindre défaillance matérielle ou la plus légère déchirure d’une combinaison spatiale seraient fatales.

Il n’y a pas de planète B. Nous sommes les habitants naturels de la Terre et destinés à y vivre pour toujours, obligés d’en prendre le plus grand soin. Les rêves loufoques de colonisations lointaines sont des mirages inutiles et dangereux qui gagneraient beaucoup à vite se transformer en un projet bien plus urgent et nécessaire : rendre notre biosphère à nouveau viable à long terme. » (Lire un compte-rendu du livre)

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