Voici le débat entre Marc Guez, DG de la Société Civile des Producteurs Phonographiques SCPP, et Fabrice Epelboin rédacteur du blog Read Write Web dans l'émission Revue et Corrigé de Paul Amar dimanche dernier.
Quand une industrie est incapable de renouveler son modèle économique.
Où le partage est création de richesse non monétaire.
Où j'ai appris que le business des concerts a explosé depuis dix ans et c'est tant mieux.
Mais attention l'HADOPI c'est la porte entrebaillée à la censure et aux polices qui vont bientôt débarquées : voir l'ACTA.
Vous n'avez pas suivi les derniers déroulements de la loi soi disant anti-piratage. Vous voulez vous faire un avis, alors écoutez l'argumentaire des deux participants en 15 min.
France5 / Revu et corrigé / Hadopi
envoyé par hadopipi.
Fabrice Epelboin revient sur le débat, documents à l'appui.
Eicko mixeur d'électro sur Numérama :
Vous téléchargez mais ne voulez pas passer par les sites type Megaupload, utilisez alors un VPN, réseau privé virtuel.
Vous téléchargez et vous allez bientôt recevoir un courrier de votre FAI, abonnez vous à SOS-Hadopi.
Retrouvez le billet complet sur captainshortman
Quand une industrie est incapable de renouveler son modèle économique.
Où le partage est création de richesse non monétaire.
Où j'ai appris que le business des concerts a explosé depuis dix ans et c'est tant mieux.
Mais attention l'HADOPI c'est la porte entrebaillée à la censure et aux polices qui vont bientôt débarquées : voir l'ACTA.
Vous n'avez pas suivi les derniers déroulements de la loi soi disant anti-piratage. Vous voulez vous faire un avis, alors écoutez l'argumentaire des deux participants en 15 min.
France5 / Revu et corrigé / Hadopi
envoyé par hadopipi.
Fabrice Epelboin revient sur le débat, documents à l'appui.
Eicko mixeur d'électro sur Numérama :
"Personnellement, je suis artiste de musique électronique, je mix et je compose depuis presque 12 ans, et si aujourd'hui j'ai acquis une certaine notoriété qui m'as permis de mixer dans des clubs prestigieux comme le Queen à Paris, ou des events comme la Techno Parade, c'est uniquement grâce au P2P qui m'a permis de diffuser rapidement, mondialement, et à moindre coût, mes mixs de démonstration",De ces voleurs qui tuent les artistes - Bluetouff
"Les maisons de disque n'ayant jamais évoqué le moindre intérêt pour ma musique et mes mixs, il était donc extrêmement logique de les distribuer gratuitement en P2P. Si je fais de la musique, ce n'est pas pour qu'elle prenne la poussière sur des rayons de "grande surface culturelle", mais pour que les gens l'écoutent."
Voici la répartition moyenne d’un titre vendu pour 0,99€ :
0,61 € pour la maison de disques
0,19 € de TVA
0,07 € reviennent à la Sacem
0,06 € pour le distributeur (le site Web)
0,03 € de frais divers à répartir entre services de Télécommunications, licence technique de gestion et frais bancaires
0,03 € pour l’artiste
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