Je connaissais "business is business" et "money is money". Maintenant il faudra dire
"biodiversity is money for business".
Je suis convaincu qu'il faut mettre une valeur pour chaque élément de la nature, afin d' intégrer dans le système économique, les coûts de son utilisation et des services qu'elle nous rend.Cependant, à mes yeux, les différents écosystèmes qui la composent sont des
biens communs. Ils appartiennent à tous les terriens ou en tout cas, aux communautés locales.
Mes amis, ceux des banques et des fonds spéculatifs, ceux de l'OMC et de l'ONU, et les lobbyistes des multinationales sont d'accord avec moi... Sur le premier point seulement.
Ils mettent des prix sur la nature, pour la vendre, l'acheter et, pour soit disant compenser les destructions et la pollution.
Image by Stéfan via Flickr
2010 est l'année de la biodiversité. Comment vous ne saviez pas ? Depuis hier les palabres ont lieu au Japon à Nagoya :
la COP10 !
Voici trois articles et une émission pour comprendre les enjeux :